J'ai cohabité quelques temps avec ce mot, sachant d'emblée qu'il me faudrait en faire quelque chose. J'ai tiré ensuite sur le fil, dévidé la pelote et tricoté sagement... Le roman tenait pour ainsi dire là-dedans, au coeur de ce réduit lexical, poème à minima, haïku de l'extrême. L'inquiétude de se voir déposséder in fine s'installe dès lors et ne vous quitte plus.
On se cherche ensuite toutes les justifications du monde comme on se cherche les poux, et ce faisant, on trouve des explications tout à fait rationnelles à des choses qui le sont moins. On ripoline, on justifie. Le Moi procède ainsi au grand ravalement.
à suivre...
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