Au bout d'un moment, je me suis rendu compte que je photographiais le jour en noir et blanc et la nuit en couleurs. Je n'ai jamais vraiment su pourquoi.
"Le jour était brumeux et sale, comme chargé d'ouate. L'humidité qui se dégageait des Buttes Chaumont plongeait la colline dans un banc poisseux et quasi maritime." OMICRoN, p 40
"les néons fluorescents clignotaient en rafales, les feux de circulation changeaient de couleur au rythme d'une mélodie mécanique et secrète." OMICRoN, p 233
Au bout d'un moment, je me suis rendu compte que j'écrivais exactement de la même manière. Je ne sais toujours pas pourquoi.
Allons, allons, Lazare...il faut cliquer dans "validez votre panier" en haut à gauche, etc...
La bière des cîmes sans aucun doute !!
Rédigé par : Mikael | 12 février 2008 à 14:41
Ecrire de cette manière est plutôt attirante... d'ailleurs, en parlant de ça mon petit Mikaël, Amazon c'est oublié mais j'ai beau cliquer en haut à gauche je tombe bien sur un site de commande mais en cliquant sur "passer commande" rien ne se passe... je crois que je vais le commander chez le marchand de souvenirs de Serre Chevalier... sinon je le lirai en 2010!!!
Rédigé par : Lazare | 12 février 2008 à 13:30
Ecrire comme on photographie n'est pas là chose étonnante : même œil, même œuvre.
Après, savoir pourquoi le noir et blanc est réservé au jour, et les couleurs à la nuit, c'est une autre histoire. Peut-être est-ce pour équilibrer la balance : voler au jour les couleurs qui habilleront nos nuits et nous donneront envie de sortir...
Rédigé par : Thibault Malfoy | 11 février 2008 à 00:02