Ma Photo

Statistiques

« Architexte | Accueil | Aiguiser »

27 mars 2009

Commentaires

Christophe Borhen

Il est bien ce Livre du Job.

hoctan

Toujours clair, pertinent, intelligent, et si vrai... que ça me donne envie de boire. D'ailleurs, grâce à ce post, j'ai supprimé tous les liens (hormis...) sur notre site car tout ça m'écoeure.
Bises à toi,
caroline

lataupe

(...une interrogation de cette incidence), et de cette relation. Bien sûr. Pour faire suite à mon commentaire précédent. J'avais trop réduit... Les (très) bons textes se lisent plusieurs fois. Ils se lisent et se relisent. On ne les épuise pas si aisément...

Nicolaï Lo Russo

@lataupe. Eh bien vous m'avez convaincu : il ne me reste plus qu'à me mettre au magnésium alors. Au fer et aux vitamines. Avant d'attaquer la quatrième tentative ;-)

lataupe

@Nicolaï LoRusso: Il ne s'agit pas de la profession "parallèle" des écrivains, mais dominante, majoritaire, en tout cas solidaire, malheureusement influente. Cette activité n'est pas une donnée inerte, autonome, "parallèle", inutile... Il y a une interrogation de cette incidence. C'est ainsi, je crois, qu'il fallait lire. (Je le dis, en toute humilité, devant l'auteur, qui rectifiera, au besoin). Allez-y pour une quatrième fois...

Nicolaï Lo Russo

Vos réflexions sont souvent pertinentes Mickaël, ce que vous dites est régulièrement intéressant. C'est peut-être sur le "comment vous le dites" que j'émettrais pour ma part une petite réserve. Vous gagneriez, je crois, à simplifier votre vocable, alléger vos phrases, vos tournures. Aller au vif. Surtout pour des textes courts comme ceux-ci. J'ai dû m'y reprendre à trois fois pour tenter de comprendre ce que vous vouliez dire dans le premier paragraphe ; en saisir l'essence. C'est dommage. (Et pour déduire qu'il s'agissait simplement de la profession "parallèle" des écrivains.)
Cette remarque – cordiale – n'engage que moi, je vous la livre en tant que visiteur attentif, vous en ferez bien évidemment ce que vous voudrez.

lataupe

Merci de ce retour. Mais à côté il demeurera toujours les 'écrivains-anonymes', et je les préfère, de bien loin, à tous ceux que vous citez. Entrez dans la nullité du débat public, mon ami, entrez-y de front, ou de force, mais allez-y, avec votre gravité et votre légèreté, votre parole y est attendue, par beaucoup j'en suis sûr. Elle manque.

L'utilisation des commentaires est désactivée pour cette note.